Théoet Hugo dans le même bateau . Olivier Ducastel, Jacques Martineau . France / 2015 / 97 min Mario Fanfani. Dans un sex-club, les corps de Théo et Hugo se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l'emportement du désir, les Réalisation Olivier Ducastel Durée 1 heure 37 minutes Genre Drame Langue Français 27 April 2016 108 membres Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l’emportement du désir et l’exaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes dégrisés, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent à leur amour naissant. Acteurs 16 Films similaires
Dansun sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l’emportement du désir et l’exaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes, dégrisés, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent à leur amour naissant. Sujet. Description.
Catalogue Long-métrages Court-métrages Boutique DVD Affiches VOD Programmation Production À propos Épicentre Films Contacts Liens Erreur 404 - Article non trouvé L'article que vous demandez n'a pas été trouvé, essayez une nouvelle recherche Rechercher Théo& Hugo dans le même bateau Un film de Olivier Ducastel et Jacques Martineau. 2016 - France - 97 min - Numérique - Couleur - 2.35 - Son 5.1 - Visa n° 143 273 . Avec Geoffrey Couët, François Nambot. Sortie le 27 avril 2016. Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l’emportement du

Le nouveau film de Jacques Martineau et Olivier Ducastel, Théo & Hugo sans dans le même bateau, se dévoile à travers une première bande-annonce sulfureuse. Le film, présenté à la Berlinale 2016, sortira le 27 avril dans les salles. amour passionnel entre deux hommes à Paris Olivier Ducastel et Jacques Martineau, s'apprêtent à sortir leur nouveau long-métrage, Théo & Hugo sont dans le même bateau. Cette fois, le tandem raconte l'histoire de Théo & Hugo, deux jeunes hommes qui se rencontrent dans un sex-club et qui vont déambuler dans les rues nocturnes de Paris, se laissant aller à leur désir et leur amour naissant. Le film a été sélectionné au Festival de Film de Berlin 2016 dans la section Panorama. Les deux jeunes comédiens Geoffrey Couet et François Nambot se glissent dans la peau de Théo & Hugo. Sortie prévue le 27 avril 2016. Source allociné

Théo& Hugo dans le même bateau Allociné Presse Allociné Spectateur Télérama Film Comédie sentimentale, France, 2016, 1h37 Voir la bande annonce Dès qu'il voit Hugo un soir très tard dans un sex-club, Théo est subjugé. Leurs deux corps finissent par se
Le Stade Toulousain Tennis Club organise les Internationaux de tennis sur les terres battues des Sept Deniers à Toulouse du 28 août au 4 septembre prochain. Pour la première fois, les joueurs disputeront le tournoi en tant qu’épreuve de la catégorie Challenger 80 voir encadré. Une montée en grade notable sur le circuit international de tennis professionnel. De quoi rendre fier Marc Tiersonnier, président du club historique depuis plus de cinq ans, qui a vu cette compétition éclore ces dernières années. Interview. Les Internationaux de Toulouse, tournoi organisé par le Stade Toulousain Tennis Club, débutent dimanche au complexe sportif des Sept Deniers © Stade Toulousain Tennis Club Pourquoi le Stade Toulousain a-t-il décidé de créer, lui aussi, une grande compétition de tennis dès 2018 en organisant les Internationaux de tennis de Toulouse ? L’histoire est partie des meilleurs joueurs du club. Ils étaient classés, à l’époque, au-delà de la 300e place mondiale. Malgré leur très bon niveau, ce classement ne leur permettait pas de disputer de grandes compétitions, notamment en France, avec des sommes élevées de prize-money gains empochés en fonction des résultats, ndlr. Avec les installations dont bénéficie le Stade Toulousain Tennis Club, nous nous sommes dit que nous devions tout de même essayer de créer une compétition où ces joueurs locaux, régionaux et nationaux puissent s’exprimer, sans avoir à voyager à l’étranger. Aussi, il existait autrefois un Grand Prix mondial qui était organisé au Palais des sports de Toulouse. La compétition s’est arrêtée après l’explosion d’AZF. Par le biais des Internationaux de Toulouse, nous avons voulu organiser à nouveau un tournoi international dans la ville. Et ceci en commençant à moindre échelle, dans la troisième division du tennis professionnel la catégorie des Futures, ndlr. Pour la première fois cette année, le tournoi est rentré dans la catégorie des ATP Challenger 80, correspondant à la deuxième division du circuit mondial voir encadré. Une fierté ? Les deux premières éditions 2018, 2019 des Internationaux de Toulouse étaient en effet organisées dans le plus haut niveau de la troisième division, avec un prize-money de 25 000 euros pour l’ensemble des joueurs. Ce niveau correspondait à celui de nos joueurs à l’époque, qui ont d’ailleurs remporté les deux finales. Mais ces derniers ont évolué plus vite que le tournoi ! Alors, comme eux, nous avons voulu monter de catégorie. Pour cela, dès 2020, nous avons candidaté auprès de l’Association des Tennismen Professionnels ATP pour que la compétition toulousaine devienne une épreuve du tournoi Challenger 80. Et ainsi, intégrer la deuxième division de tennis professionnel. Le cahier des charges est plus lourd mais nous disposons de toutes les installations nécessaires à l’organisation de ce genre d’événement. L’ATP a donc accepté notre dossier il y a deux ans. Mais avec la crise de la Covid-19, les deux dernières éditions des Internationaux de Toulouse ont été annulées. Cette année, ce sera donc effectivement la première fois que la compétition est organisée en tant qu’épreuve de l’ATP Challenger. Et nous en sommes très fiers. Mais c’est avant tout une grande responsabilité, il faut que tout roule. Les Internationaux de tennis de Toulouse montent d’un niveau Les Internationaux de Toulouse ont donc vu passer des joueurs locaux devenus des grands noms du tennis, comme Benjamin Bonzi et Hugo Gaston. L’ambition de ce tournoi est, aussi, de faire émerger les espoirs ? Nous appelons ce genre de tournois les “Futures”. Cela signifie qu’ils ont pour objectif de mettre en lumière les jeunes joueurs qui s’entraînent encore avec la Fédération française de tennis. Mais le passage des Internationaux en circuit Challenger change un peu la donne. Les sportifs présents à Toulouse à partir de dimanche sont en effet classés entre la 100ème et la 250ème place mondiale. Soit à un niveau très élevé. L’ambition reste toutefois de laisser un terrain d’expression aux jeunes joueurs français. Il existe d’ailleurs les “wild cards”. Autrement dit, des invitations que le club et la Fédération française de tennis distribuent à des jeunes joueurs qui ne correspondent pas aux critères communs de sélection, mais que nous estimons être capable de jouer à un tel niveau de compétition. Personnellement, je vais les accorder à des licenciés du Stade Toulousain, c’est normal. Arthur Raymond, Maxence Brovillé, Axel Garcian et Théo Arribagé devraient ainsi en bénéficier. La fédération privilégie aussi des joueurs français, donc peut-être qu’ils en feront partie. La liste n’est pas encore officielle, je ne peux rien dire de plus dessus. Même si Benjamin Bonzi 50ème mondial, Hugo Gaston 71ème mondial en simple, puis Hugo Nys 61ème mondial, Fabien Reboul 71ème mondial, Sadio Doumbia 76ème mondial, en double seront absents, étant à New York pour l’US Open, nos espoirs locaux ont les moyens de faire de bons résultats. Il va y avoir du grand spectacle. Lionnel Barthes, directeur du tournoi, Laurent Darcos, président du Comité de Tennis Haute-Garonne, Ugo Mola, parrain, Benjamin Bonzi, Hugo Gaston, Laurence Arribagé, adjointe Mairie de Toulouse et Marc Tiersonnier lors de l’édition 2019 des Internationaux de Toulouse © Stade Toulousain Tennis Club Un événement international organisé par un club historique Est-ce que vous comptez sur ce genre d’événement pour faire parler du Stade Toulousain Tennis ? Oui, il est également question de communication. Le tournoi permet de faire connaître Toulouse et le Stade Toulousain à l’international. C’est un club historique qui fêtera ses 100 ans l’année prochaine, pour ce qui est de la section tennis. Car il faut savoir que le Stade Toulousain est un club omnisports, avec plus d’une dizaine de disciplines. Il y a de l’athlétisme, de la natation, de l’escrime… Toutefois, il est certain que 99 % de la renommée du club est assurée par le Stade Toulousain rugby. Maintenant, la section tennis est moins connue du grand public, mais très connue dans le monde tennistique. Elle a vu passer de grands noms du sport français, comme Walter Spanghero, figure du rugby international qui a occupé la présidence 1985 ou encore le pilote automobile Xavier Lapeyre 1993. Le tennis a eu du succès auprès du grand public jusqu’aux années 70. Puis, comme partout en France, il y a eu une période de désamour pour la discipline, par effet de mode. Aujourd’hui, la renommée s’est stabilisée. Pour preuve, l’effectif du Stade Toulousain Tennis augmente d’à peu près 10 % chaque année. Le club compte désormais 1 300 membres et nous ne souhaitons pas en accueillir davantage, pour une question de confort. Depuis quelques années, vous faites confiance à des joueurs locaux pour monter une équipe professionnelle. Pourquoi ? Je considère le club comme une rampe de lancement pour les joueurs locaux, afin qu’ils atteignent le niveau international. Nous les aidons financièrement, nous sommes très attachés à eux. Mais l’objectif final reste qu’un jour, ils n’aient plus besoin de nous. La Pro Team s’est formée dans cet esprit il y a près de trois ans. Elle est composée de jeunes joueurs français Hugo Gaston, Benjamin Bonzi, Sadio Doumbia, Hugo Nys, Arthur Cazaux, Fabien Reboul, Arthur Reymond, Paul Cayre, Maxence Brovillé, Axel Garcian, Théo Arribagé, pour ce qui est de l’équipe masculine, à 90 % originaire de la région. La plupart des équipes françaises recrutent des joueurs internationaux, qui viennent une quinzaine de jours en France pour disputer des tournois, prendre leur chèque, puis rentrer dans leurs pays. La fédération française de tennis essaie d’ailleurs de lutter contre ce phénomène en imposant des quotas de Jeunes Issus de la Formation Française JIFF dans les compétitions. Le Stade Toulousain n’est pas du tout dans cette optique-là. Notre ambition n’est pas de recruter des joueurs étrangers pour remporter des compétitions interclubs. Bien au contraire, nous souhaitons faire décoller les joueurs locaux vers le haut niveau international. Et ils nous le rendent bien, ils sont très attachés au club et viennent souvent taper la balle avec les plus jeunes. Première victoire aux championnats de France de tennis pour Toulouse Le Stade Toulousain n’est peut-être pas dans l’optique de remporter des tournois interclubs, mais la Pro Team a remporté le championnat de France l’année dernière. Qu’avez-vous ressenti ? C’est la première fois dans l’histoire du club que l’équipe professionnelle remporte le championnat de France. Étant donné que l’ensemble des joueurs sont issus de la formation toulousaine, leur victoire a donné un bel éclairage sur la politique du club de faire jouer des adhérents “locaux”. L’impact était très positif. Pourtant, nous ne nous attendions pas tellement à cette victoire. Les compétitions interclubs se disputent à un niveau très élevé. Pendant le tournoi, les joueurs de la Pro Team ont joué contre des personnalités mieux classées qu’eux à l’international. Mais leur implication et leur solidarité ont fait la différence. Cela ne veut toutefois rien dire pour la saison prochaine. Déjà, parce que les joueurs de haut niveau du circuit français conservent leur haut niveau. Mais aussi parce que cette année, les interclubs tombent en même temps que les phases finales de la Coupe Davis. Si l’équipe de France les dispute, Benjamin Bonzi ne sera pas présent aux interclubs. Et il se peut qu’Hugo Gaston non plus. De plus, j’espère qu’Arthur Cazaux sera entièrement remis de sa pubalgie. Donc nous verrons bien, nous ne sommes pas à l’abri de belles surprises… Les joueurs de tennis professionnels s’affrontent toute l’année sur un circuit international. C’est à dire qu’ils peuvent disputer des tournois dans le monde entier au cours de la saison. L’accès aux différents tournois dépend de leur classement mondial puisque les tournois limitent les inscriptions à un certain nombre de joueurs. S’ils ne sont pas assez bien classés dans la hiérarchie mondiale, ils ont parfois le droit d’accéder aux qualifications. Dans ce cas, ils doivent disputer plusieurs tours avant de gagner leur place dans le tableau principal. Pour schématiser, les joueurs qui sont dans le Top 100 s’affrontent sur le circuit principal, l’ATP Tour. C’est le circuit que l’on voit le plus dans les médias avec les Grand Chelems, les Masters 1000, ATP 500 et ATP 250. Ceux qui sont moins bien classés se battent sur le circuit ATP Challenge Tour, sorte de 2ème division. Puis, il existe une 3ème division, l’ITF Men’s World Tennis Tour avec les tournois appelés Futures. À l’intérieur de chaque division, les tournois sont eux aussi répartis en différentes catégories selon les gains et les points ATP qui servent pour le classement qui sont à remporter. Les Internationaux de Toulouse sont donc passés cette année de Future à Challenger donc plus attrayants pour les joueurs. Faisant partie de la catégorie Challenger 80, le vainqueur récupèrera 80 points ATP pour son classement mondial.
DwyaneWade « croque » sa femme en vidéo ! Et alors qu’ ils sont plongés dans un terrible scandale écologique, puisqu’ils ne respectent pas du tout les mesures mises en place par le gouverneur de Californie pour lutter contre la terrible sécheresse qui ravage l’état, les tourtereaux ont décidé de partager une vidéo
Naissance de l´amour en temps réel, par Ducastel et séquence d’ouverture, une vingtaine de minutes dans un sex-club de la capitale française, est impressionnante rien ne nous avait vraiment préparés, dans la filmographie d’Olivier Ducastel et Jacques Martineau, à une observation aussi crue et juste du sexe entre mecs dans ce qu’on appelle familièrement une “boîte à cul”. Découpage énergique, rapports non simulés, musique tapageuse de Karell & Kuntur et lumière stroboscopique – tout concourt à une exploration réussie de ce qui fait, “souvent” selon le duo de réalisateurs ainsi qu’ils l’expliquent en dossier de presse, la première rencontre de deux hommes homosexuels. C’est donc là, dans une caverne de débauche et d’épanouissement des corps, qu’Hugo et Théo se rencontrent, étreintes passionnées et coït fiévreux après qu’un regard ardent un eye contact prolongé les a plongés dans les bras l’un de l’autre. Il est quatre heures du matin, ils n’ont “pas bu tant que ça” ; le club les rejette vingt minutes plus tard sur les trottoirs du 2e arrondissement, il est 4h20 et peut-être l’heure d’apprendre à mieux se connaître, ailleurs. Sauf qu’Hugo est séropositif, et que dans le feu de l’action, Théo a oublié de mettre une capote ; d’où panique – même en 2016, le VIH est toujours une réalité. S’ensuit une bonne demi-heure de course aux urgences de l’hôpital Saint-Louis, qui fait curieusement ressembler le film à un tract Sida Info Services tout y passe, de l’appel au Numéro Vert dédié à l’explication minute par minute de l’infirmière de garde. Ce n’est pas la partie la plus réussie de Théo & Hugo vont en bateau dont le titre emprunte au Céline et Julie vont en bateau 1974 de Rivette et qui lorgne, pour le côté temps réel, vers le Cléo de 5 à 7 1962 de Varda, même si la tension est palpable et rappelle l’engagement louable des réalisateurs pour la lutte contre la maladie on se souvient du joli Jeanne et le garçon formidable en 1998. Ce qui vient ensuite interpelle plus, juste déambulation dans les rues de l’Est de Paris qui dresse, l’air de rien, la topographie de la ville dans ce qu’elle est aujourd’hui, et telle que les jeunes gens modernes la parcourent du canal Saint-Martin jusqu’à la place Stalingrad, où l’on s’arrête prendre un kebab servi par un immigré syrien qui a un avis sur le conflit en cours dans son pays ; en attendant le premier métro, où l’on croise la plus toute jeune femme qui part faire le ménage dans les hôtels de luxe. C’est le goût de Ducastel et Martineau pour “le vrai Paris” et “les vrais Parisiens”, tels que le sont eux-même Théo et Hugo, bien conscients du fait que, plus tard, ils se sépareront sans doute mais qui, audacieux, se disent qu’une histoire d’amour, pour l’heure, pourrait valoir la peine.

Théo& Hugo dans le même bateau d’Olivier Ducastel et Jacques Martineau Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l’emportement du désir et l’exaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes, dégrisés, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent à leur amour

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Théoet Hugo dans le même bateau. Réalisé par Olivier Ducastel, Jacques Martineau. Avec Geoffrey Couët, François Nambot, Mario Fanfani. Date de sortie : 27 avril 2016 (1h 37). Drame Ducastel France François Nambot Geoffrey Couet Mario Fanfani Martineau Théo et Hugo dans le même bateau. par Fadette Drouard Journaliste. Partagez cet article # Accueil Cinéma Théo & Hugo dans le même bateau, une romance gay dans Paris... Théo & Hugo dans le même bateau, Copyright Ecce Films Passées les 20 minutes très explicites et presque brutales, Théo et Hugo dans le même bateau navigue sur les eaux du film d’auteur. Discussions, passion, circonvolutions, les deux héros tournent autour de la peur du Sida et de leur quotidien somme toute banal. Si le démarrage met tout de suite dans le bain, le film se concentre surtout sur une romance gay qui ouvre au monde. Un film touchant et intimiste. Théo et Hugo fréquentent les back rooms parisiennes sordides, aux échanges immédiats et sans pincettes. C’est pourtant au coeur de cet amas de chair en fusion qu’ils se rencontrent, dans une fulgurance magnifiée par le sexe, mais au-delà du simple plaisir charnel. Les réalisateurs insistent sur les regards. Geoffroy Couët et François Nambot se dévorent du regard, le crush est palpable. Le reste de l’univers n’existe plus, les autres protagonistes de l’orgie sont relégués au second plan. La chair ne fait relayer que l’information de l’épiderme au coeur, du coeur au cerveau, le reste n’est que philosophie. C’est pourtant dans ce moment hors du temps que le drame survient. Un des deux partenaires est séropositif, exposant l’autre aux affres de la maladie, de la trithérapie, de la différence. C’est sur ces bases bancales que débute une histoire d’amour toute en retenue et en confidences. Les deux amants traversent Paris, se frôlant, se fuyant mais se retrouvant toujours, comme deux amants irrésistiblement attirés l’un par l’autre. Malgré la peur de la contamination, malgré les différences, les deux hommes déambulent dans les rues et échangent leurs confidences à coeur ouvert, révélant leur soif de l’autre et leur solitude. Ne pas se laisser heurter par un début très cru et frontal. Les héros cherchent le contact et l’extase comme des portes de sortie. En se trouvant, ils rentrent dans une nouvelle phase de leur vie, éperdument. Le film est avant tout le récit d’une rencontre, d’un coup de foudre entre deux hommes. La nuit est leur témoin et leur irrésistible attraction ne pose aucune question, comme une évidence. Et si le bateau doit voguer sur des eaux troublées, ils l’acceptent de bon coeur. Olivier Ducastel et Jacques Martineau livrent un opus tour à tour brutalement explicite puis magiquement onirique. Théo et Hugo font partie de cette jeunesse avide d’amour et d’avenir, tout simplement. [vc_text_separator title= »SYNOPSIS ET INFOS » color= »custom » border_width= »5″ accent_color= »1e73be »]Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l’emportement du désir et l’exaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes, dégrisés, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent à leur amour naissant. Sortie le 27 avril 2016 Durée 1h37 Réalisateur Olivier Ducastel, Jacques Martineau Avec Geoffrey Couët, François Nambot, Mario Fanfani Genre Drame [vc_text_separator title= »BANDE ANNONCE » color= »custom » border_width= »5″ accent_color= »1e73be »] zyIv.
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